[ Cours numéro 1 ] Petit aperçu. / 1ère - 2ème - 3ème - 4ème

Justin se leva tôt ce matin comme la plupart des matins d’ailleurs, il faut dire que la paresse n’était pas un des vices qui s’étaient dispersé sur le front du jeune homme à sa naissance. Il s’était glissé au dehors de ses draps vers les cinq heures afin de flâner dans les couloirs déserts de l’étouffante foule qui les occupait pendant la journée, laissant les vents à la fois secs et doux de septembre faire virevolter la poussière quelques secondes, déclenchant des tempêtes de neige scintillantes et dorée dans les pâles rayons du soleil qui pointaient à l’horizon. Maintenant que deux années s’étaient écoulées, le Pregan était en troisième (ho joie !) année à Poudlard et il faut dire que ces deux dernières années scolaires, il ne les avait pas vu passer, mais, maintenant, il était bien décidé à profiter à fond de celle qui se présentait (et dire qu’il aura fallut TROIS ans pour qu’il prenne cette décision). Habillé de son uniforme, la louve blanche sur ses talons, le Gryffondor s’installa sur le rebord d’une fenêtre et observa dubitativement le parc encore ensommeillé. Les heures passaient, ses pensées aussi. C’était incroyable à quel point elles étaient nombreuses, chacune d’elles étaient uniques et il se sentait si bien seul avec elles, si libres.


- Continue à te complaire à la solitude comme-ça, et tu vas devenir un cas social, mon chou …


Avec un animal, n’importe lequel soit-il, Just’ était tout simplement en paix avec lui-même … n’importe lequel, sauf (manque de bol) son Familier. Songeant qu’avec les humains cela se révélait un exercice totalement différent, le rouge et or était quelqu’un qui ne jugeait quasiment unqiuement sur la première impression.

Sa « promenade » n’avait duré que deux heures car, vers les sept heures, le jeune homme décida de retourner sur ses pas afin de manger des cours avant les cours. Cours qui commençaient à huit heures pétantes, et si ses souvenirs étaient bons, il commençait par un cour de métamorphose avec un vieux fossile, Miss McGonagall. Un professeur qu’il appréciait pour ses cours clairs et précis mais qu’il trouvait bien trop sévère pour une personne sensée être ... il ne savait trop comment la qualifier. Cependant, face à un professeur, le sorcier savait se tenir (sauf, bien évidemment, si ce dernier commençait à l’énerver sur des sujets sensibles, bien qu’a Poudlard, les professeurs étaient pour la plus parts des gens droits et honnêtes … enfin semblait l’être… pour la plus part tout au plus). Une fois devant les immenses portes de chênes, l'adolescent les passa (comme c'est étonnant, fasse à une porte ...) et entra (de plus en plus original, bravo le narrateur) dans la grande salle où en attendant les hiboux qui ne viendraient jamais pour lui, il savoura un café bien noir.

N’ayant rien d’autre à faire, il embarqua sa pomme avant de tourner les talons, et fonça en direction de la salle de métamorphose. Mangeant son fruit en grimpant à toute vitesse les escaliers, il l’engloutit rapidement avant de pénétrer dans la salle où attendait le professeur seul. Le jeune homme salua vaguement son professeur avant de s’asseoir à sa place habituelle, autrement dis, la première place en partant du mur de la deuxième rangée près de la fenêtre, puis ne s’interrogeant point du tout sur la présence du parchemin sur son bureau, imaginant que l’esprit tordu de la Directrice saurait lui trouver une utilité autre que les joies de l’écriture. Il était maintenant prêt à écrire, une main dans le pelage immaculé d’Améthyste qui s’était glissée doucement jusqu’à sa chaise et jetait des regard mauvais au lynx avec qui elle avait des rapports ... particuliers. Même s'il allait bientôt divaguer ailleurs, il gardait un espoir d’être captiver par le cours ... enfin ... l'ébauche d'un espoir tempérerons-nous avec réalisme.

Attendant le reste des élèves bien moins matinal que le garçon se présentent, il griffonna sur un bout de parchemin. Sachant parfaitement que la McGo’ n’aimait pas trop que ses cours (même quand ils ne sont pas commencés) partent en vrille, Justin le fit discrètement. Sa s’annonçait une heure tttrrrèèèsss longue et « passionnante ».

Aujourd'hui c'était l'un des premiers jours scolaires de l'année. Et la jeune Poufsouffle était à présent en deuxieme année (hip hip houra!). Elle avait revêti son uniforme. Ce jour était mémorable, elle s'était levée extremement tôt (bon en fait normalement elle se lève tous les jours à 6h, donc c'est pas si extraordinaire queça, mais c'était histoire de dire). En effet la jeune fille avait passé une nuit blanche, à cause de....(roulements de tambour)....Kirjava. Son familier avait parfois des crises de somnabulisme, sauf, que comme normalement tous les somnambule il est insonsciemment inconscient dans son sommeil. Mais evidement ce lièvre n'est pas comme tout le monde, lui il fait n'importe quoi, donc si elle ne le tenais pas serré contre elle. Il partait en bondissant dans les escaliers enchantés, était bien capable de tomber dans le vide, de se briser tous les os de son frêle squelette..enfin je vous passe les détails. Donc elle le tenais contre elle, mais aussitôt qu'elle s'endormait la jeune étudiante desserait son étau..et le lièvre s'échappait. Resultat: elle dut lutter toute la nuit sontre le sommeil, pour que son lièvre ne s'écrase comme une crêpe contre le carrelage du Hall d'entrée. Bon revenons à nos dragons. Donc la jeune fille s'était levé plus tôt que d'habitude, et avait emmené son "adorable" familier qui lui avait permit de passer une "exellente" nuit, qui avait longuement insisté pour venir. Je me baladais donc dans les couloirs, verifiant les nombreux racourcis, et passages secrets, verifiant ma mèmoire (ne pouvant copté sur mon sens d'oriantation très mauvais). A 7heures, je décida de me rendre à mon cours de métamorphose..sans me presser, puisque j'étais en avance, pendant que mon familier me cassait les oreilles avec son bavardage (evidement lui il petait la forme). Je déboucha donc de grands cernes sous les yeux, une tête fatiguée, et toute bossue par la fatigue dans la salle de cours, je salua Miss McDonnagall:

-Bonjour

Je n'avais pas parler très fort comme à mon habitude, mais cette fois d'une voix éraillée.Et c'est alors que j'aperçu Mina et Justin..et un terrible d'illeme se forma dans ma tête...aller à côté de Mina ou..Justin. C'est alors que Kirjava, me dit quelque chose d'extremement discret et bien placé, et très réflechi:

-Tu n'as qu'à aller à côté des deux!

Je lui lança un long regard voulant en dire beaucoup. Je me décida à aller à côté de Mina, faisant un signe de la main au Gryffondor. Je me dirigea dans la rangée de Mina, en m'asseyant avec un long soupire de soulagement et chuchota, voyant le visage de la jeune fille interrogateur sur mes cernes:

-Salut...nuit blanche...cause:...cette chose...qui est mon familier! ça va toi?

Je fit un signe de tête en direction du lièvre qui sortait la tête de mon sac bien rempli. Je ne remarqua même pas les parchemins vierges, n'ayant qu'une envie: dormir. Je lutta tout de même sortant mes affaires.

Minerva leva les yeux de ses parchemins et vit un Gryffondor arriver. elle le connaissait bien, ça faisait maintenant sa troisième année à Poudlard. Elle lui lança un regard qui voulait en dire long et puis continua sa lecture. Le garçon la salua, Minerva se contenta d'un hochement de tête. Pandora bailla longuement, fixant de ses yeux perçants la louve. Elle descendit de sa pile de livre et se mit à un bureau du premier rang et observa Justin et son familier. Soudain, Minerva entendit des bruits de pas dans le couloir, Pandora regarda la porte et vit une jeune Serdaigle. Pandora s'écarta et salua la jeune fille. Minerva la dévisagea longuement.

- Bonjour Madame...

" Bonjour Smith. "

Minerva regarda l'élève s'installer puis continua sa lecture de fiches. Pandora sauta sur un bureau à côté d'une pendule magique, elle regarda l'heure puis sauta sur le bureau de Minerva et lui chuchota quelque chose à l'oreille en fixant les élèves. La vieille femme hocha la tête puis Pandora retourna sur la pile de livre. Mina salua Justin, ça ne gênait pas trop la directrice que les élèves bavardaient lorsque le cours n'avait pas encore commencé. Pandora remarqua que Mina n'avait pas son familier. Elle toussota puis dit :

" Mademoiselle, prenez l'habitude de ramener votre familier en cours de métamorphose, il se pourrait qu'un jour on en ait besoin... " pour la rassurer, Pandora lui fit un grand sourire. " Ce n'est pas trop grave pour ce cours là. "

Une troisième élève arriva, une Poufsouffle accompagnée de son familier. Minerva leva les yeux et regarda la pendule puis se leva. le cours allait bientôt commencer, autant leur parler de ce qu'ils allaient faire.

-Bonjour

" Bonjour Clemwins. "

" Bonjour Kirjava. "

La vieille femme prit ses fiches et regarda les élèves, elle s'avança vers eux et toussota, Pandora sauta sur un bureau à côté de Mina. Minerva prit la parole :

" Il manque encore quelques élèves, en attendant je vais vous donner de quoi vous occuper... mademoiselle Smith, étant donné que vous êtes en première année, vous ne pourrez pas faire la même chose que vos camarades, vous pouvez commencer à lire votre manuel, page 12. "

Puis elle se tourna vers Melissa et Justin et leur tendit un parchemin.

Spoiler:

Spoiler:

- Pour moi,
Tout va.

Tant mieux pour elle. J'étais à moitié endormie d'un oeil, et écoutait d'une oreille, en attendant le début du cours. Miss MaGonagall, toussota se qui fit sursauter Mina, mais ne me fit même pas réagir. Tous les sons me paraissaient cent fois amplifiés, le professeur annonça alors, se qui mit fin aux bavardages entre les familiers et leurs maitres:

- Il manque encore quelques élèves, en attendant je vais vous donner de quoi vous occuper... Mademoiselle Smith,étant donné que vous êtes en première année, vous ne pourrez pas faire la même chose que vos camarades, vous pouvez commencer à lire votre manuel, page 12.

Je rouvris les deux yeux et tomba nez à nez avec le lynx du professeur, se qui me surprit. L'animal me regarda séverement et descendit de la table, pendant que la serdaigle sortait ses affaires de son sac et que Miss MacGonagall, me tendait un parchemin ainsi qu'à Justin. Je pus lire sur celui- ci:


Nom : Clemwins
Prénom : Melissa
Classe : Deuxième année

Fiche de rappel

1) Qu'est-ce qu'un Animagus ?

2) Quelles sont les sensations que l'on a lors de la Métamorphose ?

3) Comment reprend-on notre forme humaine ?

Je souris en voyant les questions, et je me pencha aussitôt sur le parchemin pour y répondre avec application malgré ma fatigue:

1) Qu'est-ce qu'un Animagus ?

Un Animagus est une sorcière ou un sorcier qui a la capacité de se métamorphoser en l'animal qu'il veut tout en gardant ses facultés mentales, comme la capacité de réfléchir comme un humain. Lorqu'un sorcier se transforme en Animagi il garde des traits physique de sa forme humaine.

2) Quelles sont les sensations que l'on a lors de la Métamorphose ?

On a une horrible sensation soit d'étouffement (si on devient un petit animal) on d'étirement (si l'on devient un ours par exemple) puis d'écartelement, on croit que nos membres vont se déchirer. Cette transformation n'est pas la plus agréable qu'il existe, c'est même extremement désagréable.

3) Comment reprend-on notre forme humaine ?

On reprend notre forme humaine, en pensant très fort à notre forme humaine. Il faut rentrer dans une sorte de transe, et avoir un état d'esprit très particulier. Il faut écarter toutes nos pensées, pour ne voir que l'image de nous en humain. Les sorciers plus experimentés n'ont pas forcement besoin d'entrer dans cet état mental. Les Animagus qui subissent cette transformation pour la premiere fois peuvent mettre plusieurs heures, ou jours avant d'arriver à reprendre leur apparence humaine.

A la fin de la question 2, je fus sortis de ma concentration par des talons qui claquent, un courant d'air, et un cri ensuite qui me fit sursauter:

- Ca suffit maintenant ou je vous mets tous une retenue !

Puis une fois cette petite intervention finie, je continua de remplir mon parchemin. Une fois finie, je leva les yeux, et vit la professeur de métamorphose disposer avec concentration des objets devant son bureau. Autour d'un livre, je ne me posa pas de question, étant donné que j'avais la moitié du cerveau encore endormi. Je relis ma feuille, puis je caressa Kirjava en attendant la suite.